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jeudi 29 décembre 2011

JEUNESSE AFRICAINE ENCORE TRAHIE PAR SES ÉLITES QUI FONT LE TOUR DES PAYS ET DES UNIVERSITÉS POUR AVOIR DES DIPLÔMES D'EXPLOITEURS

Voici, je crois, le plus beau et le plus pertinent documentaire du monde
Au centreVoici des extraits de l'incroyable documentaire du regretté Pierre Falardeau ''LE TEMPS DES BOUFFONS''

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Au Ghana, à chaque année des rois-pantins fêtent leurs colonisateurs britanniques, ils entrent en transe..... Ne croyons plus aux Monarchies militaires-hiérarchistes!

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LA MAFIA MONTRÉALAISE DE L'ÉPOQUE

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TOUTES LES MAIRIES SONT DES MAFIAS

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TOUS LES MAIRES (sont des mafieux) SONT COUPABLES DE NE PAS ÉLIMINER LA PAUVRETÉ mais d'utiliser les statistiques pour nous laisser croire que tout s'améliore: mais ce qui s'améliore c'est l'.exode, la pauvreté croissante au cour des pays riches....

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Comme le Canada est toujours sous Tutelle Britannique: ne nous étonnons pas que Londres mette tous les chefs et les députés en place par divers truchements

ILS DANSENT SUR NOS TOMBES

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Hommage au regretté Pierre Falardeau

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Un grand ''MERCI'' au regretté cinéaste Pierre Falardeau pour son courage
d'avoir dénoncé les égoïstes royaux Britanniques

Voici le documentaire intégral
''Vous voulez faire rire le monde: et bien dites la vérité''
Vous allez en rire un bon coup

''LE TEMPS DES BOUFFONS''
de Pierre Falardeau
Vous allez vous bidonner en le visionnant tout en ciblant mieux les causes à nos maux

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Texte de Pierre Falardeau tiré de son documentaire .....
''LE TEMPS DES BOUFFONS''
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''C'est ca, le Beaver Club il y a 200 ans. C'est la mafia de l'époque. ... Toute la gang est là : un beau ramassis d'insignifiants chromés, médaillés, ...''

''On est au Ghana en 1957, avant l'indépendance. Jean Rouch tourne un documentaire, Les Maîtres fous, sur la religion des Haoukas. Chaque année, les membres de la secte se réunissent pour fêter. Ils sont possédés. Possédés par des dieux qui s'appellent le gouverneur, le secrétaire général, la femme du gouverneur, le général, la femme du docteur. En 1957, le Ghana, c'est une colonie britannique... quelques rois nègres pour faire semblant, mais les vrais maîtres sont anglais. Une colonie avec tout le kit: Union Jack, God Save the Queen, perruques, cornemuse, pis la face de la reine en prime. Ici, on connaît.''

''On est au Québec en 1985. Chaque année, la bourgeoisie coloniale se rassemble au Queen Elizabeth Hotel pour le banquet du Beaver Club. Ici, pas de possédés, juste des possédants. A la table d'honneur, avec leur fausse barbe et leur chapeau en carton, les lieutenants gouverneurs des 10 provinces, des hommes d'affaires, des juges, des Indiens de centre d'achats, des rois nègres à peau blanche qui parlent bilingue. Comme au Ghana, on célèbre le vieux système d'exploitation britanique. Mais ici, c'est à l'endroit. Ici, les maîtres jouent le rôle des maîtres, les esclaves restent des esclaves. Chacun à sa place!''

''- Bonsoir, mesdames et messieurs. Good evening, ladies and gentlemen. My name is Roger Landry. I am your president of the Beaver Club. It is my privilege to welcome you to the twenty-seventh annual dinner of the Beaver Club celebrating this year the two-hundredth anniversary of the Beaver Club in Montreal. Sont réunis ici ce soir, dans cette illustre enceinte, des personnalités dont le seul nom évoque assurément la grandeur et l'honorabilité; puisque, en fait, à cette table ils sont tous honorables. En titre... Mais rassurez-vous, ce soir, exceptionnellement, ils redeviennent tous humains et les règles du protocole sont dès maintenant abolies. Avant de ce faire, j'ai reçu, il y a quelques instants, a few minutes ago this telegram: I am very sorry that I am unable to be with you tonight, but I am pleased to be able to send congratulations on the occasion of the anniversaries. Je vous souhaite à tous une soiré agréable et au Beaver Club beaucoup de succès dans les années à venir. The right honorable prime minister of Canada, Brian Mulroney."

''Des bourgeois pleins de marde d'aujourd'hui déguisés en bourgeois pleins de marde d' autrefois célèbrent le bon vieux temps. Le bon vieux temps, c'est la Conquête anglaise de 1760; par la force des armes, les marchands anglais s'emparent du commerce de la fourrure. Chaque année, les grands boss se réunissent pour fêter leur fortune. Ils mangent, ils boivent, ils chantent. Ils s'appellent McGill, Ellice, Smith, Frobisher, Mackenzie. C'est ça, le Beaver Club il y a 200 ans. C'est la mafia de l'époque. Ils achètent tout : les terres, les honneurs, les médailles, le pouvoir, tout ce qui s'achète. La gang de fourrure forme lentement l'élite de la société. Les voleurs deviennent tranquillement d'honorables citoyens. Ils blanchissent l'argent sale en devenant banquiers, seigneurs, politiciens, juges. C'est ça, le Beaver Club au début.''

''Deux cents ans plus tard, leurs descendants, devenus tout à fait respectables, font revivre cette fête par excellence de l'exploitation coloniale. Le gros Maurice, ministre des Forêts, devenu boss d'une multinationale du papier. Jeanne Sauvé, sa femme, administrateure de Bombardier, d'Industrial Insurance, et gouverneuse générale. Marc Lalonde, ancien ministre des Finances, maintenant au conseil d'administration de la City Bank of Canada. Francis Fox, ministre des Communications, engagé; par Astral Communications. Toute la gang des Canadiens français de service est là, costumé en rois nègres biculturels. Des anciens poiticiens devenus hommes d'affaires. Des anciens hommes d'affaires devenus politiciens. Des futurs politiciens encore hommes d'affaires.''

''Toute la rapace est là: des boss pis des femmes de boss, des barons de la finance, des rois de la pizza congelée, des mafiosos de l'immobilier. Toute la gang des bienfaiteurs de l'humanité. Des charognes à qui on élève des monuments, des profiteurs qui passent pour des philanthropes, des pauvres types amis du régime déguisés en sénateurs séniles, des bonnes femmes au cul trop serré, des petites plottes qui sucent pour monter jusqu'au top, des journalistes rampants habillé en éditorialistes serviles, des avocats véreux, costumés en juges à 100 000$ par année, des liche-culs qui se prennent pour des artistes. Toute la gang est là : un beau ramassis d'insignifiants chromés, médaillés, cravatés, vulgaires et grossiers avec leurs costumes chics et leurs bijoux de luxe. Ils puent le parfum cher. Sont riches pis sont beaux; affreusement beaux avec leurs dents affreusement blanches pis leur peau affreusement rose. Et ils fêtent...''

''Au Ghana, une fois par année, les pauvres imitent les riches. Ici, ce soir, les riches imitent les riches. Chacun à sa place... Les bourgeois anglais se déguisent en bourgeois anglais, les collabos bilingues s'habillent en collabos bilingues, souriant et satisfaits, les Écossais sortent leur jupe écossaise, les Indiens se mettent des plumes dans le cul pour faire autochtones. On déguise les Québécois en musiciens pis en waiters. Les immigrés? Comme les Québécois, en waiters! Chemises à carreaux et ceintures fléchée. Manque juste les raquettes pis les canisses de sirop d'érable. Des porteurs d'eau déguisés en porteurs de champagne. Alouette, gentille alouette!''

''C'est toute l'histoire du Québec en raccourci. Toute la réalité du Québec en résumé : claire, nette pour une fois, comme grossie à la loupe. Ce soir, les maîtres fêtent le bon vieux temps. Ils fêtent l'âge d'or et le paradis perdu. Ils crient haut et fort, sans gêne, leur droit au profit, leur droit à l'exploitation, leur droit à la sueur des autres. Ils boivent à leurs succès. Ils chantent que tout va bien, que rien ne doit changer, que c'est pour toujours... toujours aux mêmes, toujours les mêmes.''

''Ils sont pareils partout... à New York, à Paris, à Mexico. Je les ai vus à Moscou vomir leur champagne et leur caviar sur leurs habits Pierre Cardin. Je les ai vus à Bangkok fourrer des enfants, filles ou garçons, pour une poignée de petit change. Je les ai vus à Montréal dans leur bureau avec leurs sales yeux de boss, leur sale voix de boss, leur sale face de boss, hautains, méprisants, arrogants. Des crottés avec leur chemise blanche pis leur Aqua Velva. Minables avec leur Mercedes pis leur raquette de tennis ridicule. Comme des rats morts. Gras et épais avec leurs farces plates pis leurs partys de cabane à sucre. Pleins de marde jusqu'au bord à force de bêtise et de prétention. Crosseurs, menteurs, voleurs. Et ça se reproduit de père en fils. Une honte pour l'humanité!''

''Au Ghana, les pauvres mangent du chien. Ici, c'est les chiens qui mangent du pauvre. Et ils prennent leur air surpris quand on en met un dans une valise de char.''

''- Ensemble, merci au chef, nos applaudissements, nous lui disons merci. Ladies and gentlemen, together let's thank magnificently. Bravo! Et maintenant, as president of the Beaver Club, may I say to you the following : never any club has been so honoured and so magnificently rewarded on its two-hundredth anniversary to have such a magnificent membership as you are. A vous tous, nos membres, à nous tous, applaudissons-nous. We are magnificent people and I raise my hat to all of us. Bravo. You are as beautiful as I think I am. Thank you very much. Good evening. Bravo. Good night. Tout le monde, les serviettes, on fête, on témoigne notre appréciation. Everyone, yes, that's right! Bravo.''

''Applaudissons-nous. We are magnificent people. Quelle bouffonnerie!''

''- Bravo. God bless you.''


"Ils ne sont grands que parce que nous sommes à genoux."
La Boétie

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Voici une chanson incroyable où le regretté cinéaste PIERRE FALARDEAU va vous faire rire à vous rouler par terre

Qu'il était génial cet homme


LE TEMPS DES BOUFFONS et LES HUMAINS: ouvres magnifiques de Pierre Falardeau



Pierre Falardeau
''LES HUMAINS''



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Et je vous partage cette chanson éveilleuse
'Y'A DES CIGALES DANS LA FOURMILIÈRES''


mercredi 28 décembre 2011

JEUNESSE HEUREUSE: COMMENT

«L’ENFANT N’A PAS DE PROBLÈMES SAUF À PARTIR DU MOMENT QU’IL ENTRE À L’ÉCOLE DU MÉRITE».


Dénonçons l'esprit de compétition enseigné par nos Écoles
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L'Éducation fait que les enfants se préparent mentalement à se compétitionner ultérieurement

La guerre des pays modernes est la pire : nous nous massacrons les uns les autres sans avoir besoin d’armes de combats, mais nous le faisons avec l’ambition, la compétition, la consommation, l’endettement des pauvres, la désinformation, en encourageant la décadence et la dépravation, en habituant aux drogues, pour vendre et rendre dépendant, à coups d’homosexualités et d’autres banalisations!

Le Système se reproduit par ses Écoles

L'École sème les germes de violences, elle conditionne aux mentalités antifraternelles

C'est l'École qui forme les égoïstes, les voleurs diplômés, les exploiteurs san coeur.....

« Ne poussez pas la rivière, elle coule toute seule »


DROITS FRATERNELS DES JEUNES


De l'École capitaliste à L'ÉDUCATION AUX VALEURS FRATERNELLES


jeudi 22 décembre 2011

JÉSUS: FAITS NOUVEAUX

Virtuellement chaque civilisation possède son dieu du feu ou dieu soleil. Les Égyptiens (et parfois les Romains) l’appellent Vulcain. Les Grecs l’ont appelé Chronos, tout comme les Phéniciens mais ils l’appelaient aussi Saturne. Les Babyloniens l’appelaient Tammuz (en tant que Nimrod ressuscité en la personne de son fils), Moloch ou Baal (comme l’appelaient aussi les druides). Tous ces titres étaient en fait les différents noms de Nimrod. Ce dernier est considéré le père de tous les dieux babyloniens.

Les sacrifices d’enfants.

Veuillez noter la pratique horrible qui est associée à l’adoration du dieu du feu (Nimrod, Saturne, Chronos, Moloch et Baal) dans les références suivantes tirées du livre Les deux Babylones d’Alexander Hislop, p. 231. « Maintenant, ceci est en concordance exacte avec le caractère du dirigeant suprême de ce système d’adoration du feu. Nimrod, en tant que représentation du feu dévorant, auquel les victimes humaines, tout particulièrement des enfants, étaient offertes en sacrifice, était considéré comme le grand dévoreur…il était, bien entendu, le vrai père de tous les dieux babyloniens ; et, qui par la suite a toujours été universellement considéré en tant que tel.

En tant que Père des dieux, il fut, comme nous l’avons vu, appelé Chronos. Tout le monde connaît l’histoire classique de celui qui simplement « dévorait ses fils aussitôt qu’ils naissaient ». (Lempriere Classical Dictionnary, Saturn)…Cette légende possède encore un sens plus profond ; toutefois, appliqué à Nimrod, dit « le Cornu », cela fait simplement allusion au fait que, en tant que représentation de Moloch ou Baal, les enfants étaient l’offrande la plus acceptable sur son autel. Nous possédons suffisamment de tristes preuves à ce sujet à partir des archives de l’Antiquité. « Les Phéniciens » disaient Eusèbe, sacrifiaient chaque année leurs nouveau-nés bien-aimés à Chronos ou Saturne. »

Mais pourquoi les sacrifices humains ont-ils une telle importance dans l’adoration de ce terrible dieu ? Quel bien les êtres humains pouvaient-ils espérer dans le fait de sacrifier leurs propres enfants ? Continuons : « …celui qui s’approchait du feu recevait une lumière de la part de la divinité » et « par ce feu divin toutes les taches dues aux générations précédentes pouvaient être effacées. » C’est la raison pour laquelle ils ont fait passer par le feu à Moloch leurs fils et leurs filles (Jér 32 :35). (Partout c’est nous qui traduisons). Aussi incroyable que cela puisse paraître, des êtres humains séduits croyaient réellement qu’ils plaisaient à leur « dieu » en sacrifiant leurs propres petits enfants innocents. Ils croyaient que le feu les purifiait du péché originel. La doctrine païenne énonçant la nécessité de passer du temps au purgatoire afin de purifier l’âme de tout péché tire son origine de cette croyance !




La crucifixion ? Jésus est le 16è dieu crucifié de l'antiquité. Le plus célèbre avant lui fut Krishna, en Inde

Revenons à l’ouvrage d’Arnaud d’Apremont. Selon lui, ” la première mention véritable du 25 décembre comme date de naissance de Jésus se trouve dans le calendrier de Philocalus, apparemment publié à Rome, en 345 “. Il précise : ” En 354, le pape Liberius désigne officiellement la fête des “Brumalia” du solstice d’hiver comme celle de la naissance de son Christ. ” Ajoutant : ” En 440, l’Église déclara que la célébration de la naissance du Christ était définitivement fixée au 25 décembre ; cette année-là, le pape Sixte III célébra la première messe de minuit. ” Après quoi, en 525, l’empereur ” Dionysius le Petit décida arbitrairement et révolutionnairement que la naissance de Jésus serait l’an I des calendriers et fixa, tout aussi arbitrairement, à l’an 754 la fondation de Rome (…) ; finalement, au XIIe siècle, Noël est devenue la grande fête de tout l’Occident chrétien “. Arnaud d’Apremont souligne : ” Les chrétiens, incapables d’éradiquer une fête païenne majeure, préférèrent la récupérer pour leur compte, de même qu’ils transformèrent les anciens dieux en saints tout en leur conservant leurs pouvoirs et lieux de culte. ” Il note qu’avec la Réforme et ” son retour à l’orthodoxie biblique, (…) Noël allait se trouver en butte à de violentes attaques “.

mardi 20 décembre 2011

J.P. MORGAN DE LA TABLE RONDE

Le réseau de la Fraternité babylonienne est basé à Londres et il a créé un autre groupe d'élite appelé la Table ronde avec des branches de partout dans le monde.





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